Des fièvres non paludéennes

Ce n’est que dernièrement que des campagnes IEC sont lancées pour faire comprendre aux gens que toute fièvre n’est pas systématiquement une manifestation du paludisme et que seul un test PCR permet de confirmer rapidement le diagnostic de cette maladie. La fiabilité du diagnostic permet d’ailleurs d’administrer les meilleurs traitements qui peuvent ainsi être très efficaces, puisque le paludisme est une des parasitoses les plus difficiles à combattre. Des souches du parasite Plasmodium falciparum sont en effet devenues résistantes aux médications à base de dérivés de quinine. C’est pourquoi les médicaments à base de chloroquine ne sont plus mis sur le marché, d’autant plus que ses effets secondaires sont plus importants que les bénéfices attendus de lors de l’utilisation, notamment au niveau des yeux.

Attention à l’insolation

Dans certaines régions d’altitude, la température hivernale peut baisser assez fortement en début et en fin de journée. Le froid conduit les gens à s’exposer au soleil, souvent de manière prolongée. Cependant, il est déconseillé de le faire, car on pense que la fièvre qu’on y récolte est souvent due au paludisme. Les symptômes et malaises qui en résultent sont d’ailleurs très proches : migraines, froid et frissons, température etc. En fait, ces manifestations dues à l’insolation ne sont pas les symptômes de la maladie infectieuse mais une réaction de l’organisme à la variation de la température, à laquelle s’ajoute souvent une déshydratation. Ce coup de chaleur se produit le plus généralement chez des personnes fragiles, très jeunes ou âgées, ou encore chez les individus qui ont un état de santé délicate, ou encore chez ceux qui vivent dans des conditions précaires d’hygiène et de nutrition.

Qu’est-ce que la rhinite allergique ?

La rhinite allergique se manifeste souvent par une allergie respiratoire. Cela dit, cette inflammation des voies aériennes supérieures survient quand la personne est confrontée à un allergène. Elle est causée par les chats, les acariens et les pollens de graminées. Pour traiter cette pathologie, il faut adopter certaines mesures d’éviction et de désensibilisation. Puis, il faut prendre des médicaments. Comme mentionné plus haut, il existe 2 types de rhinite allergique. Présentée toute l’année, elle est causée par des allergènes qui se trouvent dans notre environnement comme les moisissures, les acariens et les poils d’animaux. En revanche, la rhinite saisonnière, présente à la même saison tous les ans, est due aux pollens des arbres, herbacées et graminées.

Quels sont les symptômes de la rhinite allergique ?

Au printemps, les personnes sensibles présentent un allergique au pollen qui entre dans les champs. Cette réaction est immédiate et violente. C’est donc le caractère de la rhinite allergique saisonnière. Cela se traduit par l’éternuement, l’écoulement et la congestion du nez, des pleurs comme une sensation de grain de sable, la difficulté à respirer et une sensation d’oppression thoracique. Ces signes peuvent s’accompagner de la démangeaison de la gorge, de l’irritabilité et de la fatigue. Chez les 50 % des allergiques au pollen, ces symptômes sont liés à une conjonctivite. Ils peuvent s’aggraver par une crise d’asthme. Dans des cas très rares, les patients les plus allergiques développent une urticaire en cas de contact des pollens avec la peau.

Les signes d’un problème vaginal

Les affections qui peuvent toucher le vagin sont variées. Il existe des symptômes qui devraient alerter les femmes qui en sont atteintes. Des démangeaisons au niveau du vagin annoncent un problème du vagin. Les sécrétions anormales qui sont malodorantes et de couleur inhabituelle sont aussi des signes d’une affection. La présence d’une excroissance à l’intérieur ou autour du vagin, les sensations de brûlure, d’irritation, ou encore une sècheresse vaginale anormale sont autant de symptômes qui doivent vous inciter à consulter.

Les causes des affections vaginales

Les causes des problèmes vaginaux sont diverses. Les mycoses, par exemple, sont dues à des champignons microscopiques. La candidose est l’une des mycoses les plus fréquentes qui touchent les femmes. Elle est due à la levure appelée Candida albicans.
Outre les champignons, les affections vaginales peuvent aussi être causées par des bactéries. Ces dernières peuvent faire partie de la flore vaginale, mais qui se prolifèrent anormalement pour causer des infections. Mais, elles peuvent aussi provenir de la région anale. L’infection urinaire, par exemple, est causée par des bactéries présentes près de l’anus et qui remontent vers l’urètre.
Un déséquilibre hormonal peut aussi être à l’origine d’un problème vaginal. Cela entraîne une sècheresse ou des irritations.
Des allergies aux produits de toilette ou aux protections périodiques peuvent aussi provoquer chez certaines femmes des démangeaisons.
Enfin, il y a les MST ou maladies transmissibles sexuellement. Elles sont nombreuses à ne citer que le SIDA, la syphilis, la blennorragie et l’herpès génital. Ces infections se transmettent lors des rapports sexuels non protégés. Pour en savoir plus sur les maladies pouvant toucher les organes génitaux, profitez de l’expertise des équipes de Lorraine Evoluence. Ces dernières abordent diverses thématiques liées aux problèmes vaginaux, à la santé sexuelle féminine, mais aussi masculine.

Comment limiter la survenue des problèmes vaginaux et comment les traiter ?

Il est possible d’éviter les problèmes vaginaux avec quelques conseils d’hygiène intime à suivre au quotidien. Pour votre toilette intime, utilisez des produits doux. Les douches vaginales sont absolument à éviter. Cela perturbe en effet l’équilibre de la flore vaginale. Le vagin n’est pas sale. Il se nettoie tout seul. Vous ne devez donc pas y injecter de liquide comme de l’eau pour le nettoyer.
Porter des sous-vêtements synthétiques est aussi déconseillé. Préférez ceux faits en coton. Et qu’ils ne soient pas trop serrés. Après vous être allée à la selle, évitez de vous essuyer de l’arrière vers l’avant. Ceci afin de ne pas ramener les bactéries situées dans la région anale vers le vagin. Enfin, si vous changez de partenaires, protégez-vous lors de vos relations sexuelles.
Si malgré toutes ces précautions, vous ressentez des problèmes vaginaux, n’attendez pas pour consulter. Le médecin prescrira un traitement efficace pour vous soigner. Le plus souvent, il s’agit d’un traitement local sous forme d’ovules ou de crèmes.

Symptômes et facteurs de risques

L’hypotension artérielle peut être chronique et présenter plusieurs symptômes :

• Une fatigue persistante
• Un besoin de sommeil important
• Une difficulté à se concentrer
• Une grosse émotivité et une tendance à la dépression
• Des troubles visuels
• Des vertiges et des étourdissements
• Une perte de connaissance, etc.

On distingue deux types d’hypotension artérielle : l’hypotension postprandiale et l’hypotension posturale ou orthostatique. Parmi les plus grands facteurs de risques on retrouve la consommation d’alcool, la prise de drogue, ou la prise de médicaments comme les antidépresseurs. La déshydratation peut aussi entraîner ce trouble, tout comme certains troubles cardiaques et le diabète. Oui, le diabète peut causer non seulement de l’hypertension mais également de l’hypotension artérielle. D’autres maladies comme ceux touchant le système nerveux peut provoquer l’hypotension, ou bien une longue convalescence pendant laquelle le patient est alité en permanence. La carence en fer ou en potassium est à éviter pour éviter ce trouble.

Diagnostic et traitement

Il n’y pas raison de consulter si aucun des symptômes cités plus haut ne se présente. Par contre, en présence de l’un d’entre eux, il faut consulter immédiatement votre médecin. Les symptômes lui permettront de diagnostiquer ce que vous avez. On est en présence d’hypotension orthostatique si le passage rapide de la position couchée à la position debout provoque une baisse tension. En revanche, il y a hypotension postrandiale, si la tension artérielle systolique du patient est inférieure à 20 mmHg lorsqu’il se trouve en position couchée. Ce qui devrait alerter c’est la répétition des symptômes ou si la tension reste à un niveau inférieur pendant une longue durée. Dans ce cas là, il est recommandé de consulter rapidement afin d’obtenir le traitement adapté. Si vous prenez des médicaments favorisant la chute de tension, le médecin vous demandera d’arrêter la prise ou les remplacera. Il vous demandera de vous hydrater correctement et de rester actif pour éviter l’immobilisation. Il peut aussi préconiser un traitement médicamenteux en plus de nombreux conseils.

Identifier les symptômes de l’érysipèle

Une montée brusque de fièvre est le premier symptôme de l’érysipèle qui s’accompagne de frissons généralisés. Toutefois, bien que très rares, des cas d’érysipèle sans fièvres peuvent aussi apparaitre. Par la suite, des plaques rouges luisantes, enflées et douloureuses apparaissent. Les plaies sont douloureuses et chaudes au touché. Les ganglions situés à proximité des plaies augmentent parfois de taille.
Il est aussi possible de constater un décollement de l’épiderme secondaire à cause de la constitution de bulles superficielles.

Connaitre les facteurs de risque

En général, une peau abîmée est sujette à ce type d’infection. Ces plaies ouvertes, aussi petites soient-elles, permettent aux bactéries de traverser la barrière cutanée. Une insuffisance veino-lymphatique favorise l’apparition de l’érysipèle sur la peau. Sinon, certaines pathologies constituent des facteurs de risques comme le diabète et le tabagisme.
Cette infection peut atteindre les enfants comme les adultes. Mais, il est important de noter que l’incidence de la maladie augmente avec l’âge. Ainsi, les risques sont plus sérieux à partir de 40 ans.

Savoir les traiter l’érysipèle

En principe, comme toute infection bactérienne, l’érysipèle se traite facilement avec des antibiotiques. La pénicilline, par voie intraveineuse ou par voie orale durant une quinzaine de jours, permet de traiter efficacement l’érysipèle.
Toutefois, même si l’érysipèle est une inflammation, il est déconseillé d’utiliser des anti-inflammatoires non stéroïdiens à l’instar de l’ibuprofène. En effet, ils masquent les symptômes pouvant ainsi retarder le diagnostic favorisant les risques de complications.
Le traitement peut aussi s’accompagner par d’autres médicaments notamment ceux qui sont prescrits pour diminuer les douleurs et la fièvre. Tout au long du traitement, un repos au lit est vivement recommandé au sujet.
Accompagner le traitement antibiotique avec des soins naturels est conseiller pour éviter les récidives. C’est le cas notamment avec l’aromathérapie et la photothérapie.

Connaitre les complications

À défaut de traitement par des antibiotiques, il peut arriver une dissémination de la bactérie au niveau des tissus profonds sous la peau voire même dans l’organisme. Avec une prise en charge antibiotique, ces risques sont réduits jusqu’à 5% des cas. Enfin, des récidives chez les sujets à risques nécessitent une prise en charge dans un milieu hospitalier.

Comment se manifeste le phimosis ?

Cette muqueuse s’accole au gland chez le nourrisson. Il suffit dans ce cas de décalotter progressivement la muqueuse lors des érections réflexes et les bains. Il faut bien nettoyer les parties génitales du petit garçon sans jamais forcer le décalottage. Ceci peut causer des douleurs et même des lésions. En cas d’infection locale que l’on appelle balanite, vous devez recourir à la libération des adhérences, un acte médical sous anesthésie, vers l’âge de 4 ans lorsque l’enfant serait bien propre. Certains adultes voient réapparaitre le phimosis à cause d’un épaississement de la peau sur cette partie génitale. D’autres l’ont depuis l’enfance. Même s’il est généralement bénin, le phimosis peut se compliquer. Il y a l’infection locale causée par une mauvaise hygiène ou une hygiène insuffisante entre le prépuce et le gland. En cas de phimosis très serré, vous aurez une difficulté à uriner, accompagnée souvent de gonflement du prépuce. Après un décalottage forcé lors d’une érection par exemple, vous pourrez souffrir de paraphimosis. Votre gland est étranglé par l’anneau du prépuce.

Comment prendre en charge le phimosis ?

Les traitements médicamenteux consistent à réaliser progressivement le décalottage. Il faut alors appliquer des dermocorticoïdes sur le prépuce pour supprimer les muqueuses. Ces médicaments peuvent être utilisés à partir de 2 ans. Une fois adulte, si le phimosis n’est pas traité, il peut entraîner des douleurs lors des érections et des rapports sexuels. Le repli muqueux entre le prépuce et le gland peut se briser lors des premiers rapports sexuels. Ce qui peut entraîner un saignement. Le cas échéant, il faut sectionner ce repli en recourant à la chirurgie.

Comprendre la maladie

L’HTA se traduit par une augmentation anormale de la tension artérielle, plus précisément de la pression du sang sur les parois des artères. Elle peut survenir à tout moment sans que l’on ne puisse en définir la cause exacte. Mais les facteurs de risques sont très nombreux notamment une mauvaise hygiène de vie: une alimentation trop riche en sel et faible en fruit et légumes, une consommation excessive d’alcool et de tabac, une pratique insuffisante d’activité physique, l’obésité, le stress, etc. L’âge est aussi un facteur de risque, les risques sont de plus en plus nombreux avec l’avancée de l’âge.

L’HTA peut aussi être héréditaire, si vous avez un parent qui a eu une hypertension, vous avez plus de risque d’en avoir. Il faut savoir que la tension artérielle est définie en deux chiffres : la pression artérielle systolique et la pression artérielle diastolique. Par ailleurs, une personne est dite hypertendue lorsque la pression artérielle systolique atteint les 14cmHg, voire plus. Ou bien la pression artérielle diastolique s’élève à 9 cmHg, voire plus. En dessous de ces chiffres, la tension est dite normale, donc moins alertant. Par contre si vous présentez les signes suivants, consultez un médecin rapidement : fatigue, saignement du nez, maux de tête insupportable, etc.

Quelques conseils pour prévenir l’hypertension

Pour prévenir l’HTA, il faut déjà commencer par une bonne hygiène de vie, il s’agit de limiter les facteurs de risques. De ce fait, éviter la prise d’alcool, la consommation de tabac, limiter la consommation de sel, etc. Il faut également pratiquer du sport, c’est déstressant. Prendre le temps de se détendre et de se relaxer surtout quand est plus âgé. La marche est vivement recommandée quand on est plus âgé et que la pratique de sport n’est plus adaptée. Eviter d’être en surpoids sachant que cela peut causer l’HTA. En face de la maladie, le médecin peut prescrire un traitement médicamenteux comprenant des diurétiques thiazidiques, des bêta-bloquants, des inhibiteurs d’enzyme de conversion, des inhibiteurs calciques, etc.

Les causes de cette maladie

Jusqu’à aujourd’hui, on a pu déterminer que quelques causes du cancer de la peau. Bien sur les causes peuvent être nombreuses mais celles connues sont peu nombreuses notamment : le fait de s’exposer sur une longue durée aux Ultraviolets. La sensibilité de la peau aux UV se classe en différentes catégories (phototype numéroté de 1 à 6 : le numéro 1 et le numéro 2 sont les plus sensibles). Le cancer peut aussi être causé par l’hérédité : des parents ou arrière grands-parents malades du cancer de la peau voient leurs descendants touchés par la même maladie.

Si les causes sont peu nombreuses, les facteurs de risque, eux, sont plus nombreux :

• l’avancée de l’âge, le cancer de la peau peut apparaître sr un sujet plus vieux qui a plus de 50 ans.
• Les traitements immunosuppresseurs : qui peuvent renforcer l’apparition de mélanomes lorsque le système immunitaire devient faible.
• La chimiothérapie pratiquée pour guérir un autre cancer peut causer un cancer de la peau.

Diverses affections médicales sont souvent confondues avec les symptômes du cancer de la peau, il faut faire attention. Mais dès que vous constatez un changement sur votre peau, consultez rapidement un médecin.

Les traitements connus

Il existe différents types de traitement de ce cancer, leurs objectifs sont d’enlever toute tumeur détectée sur la peau, limiter les possibilités de récidives de la maladie, atténuer tous les symptômes et limiter leur apparition. Pour cela, le médecin traitant peut recourir :

• à la chirurgie
• l’immunothérapie
• la radiothérapie
• la chimiothérapie
• la greffe de la peau

Prévenir la maladie c’est possible, il faut limiter les expositions aux Ultraviolets en se protégeant efficacement du rayonnement solaire. Si vous êtes un phototype, faites régulièrement un contrôle auprès d’un spécialiste. Et enfin, dès que votre peau présente une tâche ou autre chose d’inhabituelle, consultez immédiatement un médecin.